18 mai 2016, 12:47

PROPHETS OF RAGE

Prophètes en leur pays ?


 

On enrage de ne pas en savoir plus. La vanne est facile mais pourtant diablement vraie. C’est aujourd’hui que sont apparus un nouveau site ainsi qu’une page Facebook répondant au nom de PROPHETS OF RAGE. Aucune information (ou si peu) sur le site, si ce n’est un dessin énigmatique, un décompte devant s’arrêter au mardi 31 mai à 16 h (heure française) et la possibilité d’entrer son adresse mail.
Le hashtag  #TAKETHEPOWERBACK renvoit bien évidemment à l’un des morceaux du premier album de RAGE AGAINST THE MACHINE paru en 1992, et la mention de l’été 2016 apparaît ensuite avec les messages suivants : « Clear the way » (« Faites place nette ») et « The party’s over » (« La fête est finie »).
 


 


Sur la page Facebook, peu d’informations également si ce n’est deux vidéos : l’une est le morceau de PUBLIC ENEMY, "Prophets Of Rage", et l’autre la version de CYPRESS HILL et RAGE AGAINST THE MACHINE de "How I Could Just Kill A Man".

D’aucuns imaginent déjà une association des groupes précités qui s’intitulerait PROPHETS OF RAGE. East Coast et West Coast ensemble, alors que depuis les débuts du mouvement hip-hop, les deux côtes s’affrontent, New York contre Los Angeles ? A l’heure actuelle et à l’approche des élections américaines, ne serait-il pas temps qu’une alliance musicale contestataire et revendicatrice qui serait médiatisée émerge enfin ? La question est posée. Si cette bombe (track) s’avérait, on aurait alors affaire très certainement à un groupe explosif et à manier avec précaution.

Tout vient à point à qui sait attendre et il faudra donc s’armer de patience afin d’en savoir plus, ce que nous ne manquerons pas de faire de notre côté et vous transmettre toute nouvelle qui serait mise à notre disposition. « That’s All Folks ! ».


PUBLIC ENEMY : "Prophets Of Rage"



CYPRESS HILL & RAGE AGAINST THE MACHINE : "How I Could Just Kill A Man"
 

Blogger : Jérôme Sérignac
Au sujet de l'auteur
Jérôme Sérignac
D’IRON MAIDEN (Up The Irons!) à CARCASS, de KING’S X à SLAYER, de LIVING COLOUR à MAYHEM, c’est simple, il n’est pas une chapelle du metal qu'il ne visite, sans compter sur son amour immodéré pour la musique au sens le plus large possible, englobant à 360° la (quasi) totalité des styles existants. Ainsi, il n’est pas rare qu’il pose aussi sur sa platine un disque de THE DOORS, d' ISRAEL VIBRATION, de NTM, de James BROWN, un vieux Jean-Michel JARRE, Elvis PRESLEY, THE EASYBEATS, les SEX PISTOLS, Hubert-Félix THIÉFAINE ou SUPERTRAMP, de WAGNER avec tous les groupes metal susnommés et ce, de la façon la plus aléatoire possible. Il rejoint l’équipe en février 2016, ce qui lui a permis depuis de coucher par écrit ses impressions, son ressenti, bref d’exprimer tout le bien (ou le mal parfois) qu’il éprouve au fil des écoutes d'albums et des concerts qu’il chronique pour HARD FORCE.
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