17 janvier 2017, 11:44

Steven Adler

La mère de l’ex-GN’ R sort la biographie de son fils

 

Il faut se méfier des mères de musiciens. Si celle de Trey Azagthoth de MORBID ANGEL a récemment pris à partie David Vincent sur Internet, celle de Steven Adler a décidé d’écrire la biographie de son fils à travers son ressenti de maman. Ex-batteur du « groupe le plus dangereux du monde », GUNS N’ ROSES pour ne pas le citer, dont il a fait partie entre 1985 et 1990 avant d'en être écarté en raison de sa grande dépendance à la drogue, ce dernier a touché le fond à de nombreuses reprises, comme le raconte Deanna Adler dans Sweet Child Of Mine: How I Lost My Son to GUNS N' ROSES. Un livre qu’elle a coécrit avec Lawrence J. Spagnola du New York Times, qui avait déjà signé avec Steven My Appetite for Destruction : Sex & Drugs & GUNS N' ROSES (2010), et qui sortira le 24 janvier chez Monarch Publishing.

Elle y dit sa fierté de voir son fils accéder à la renommée internationale au sein de l’un des plus grands groupes de rock mais aussi son désespoir de le voir sombrer au fin fond de la dope. Elle y parle aussi des batailles juridiques, crises cardiaques, ruine, tentatives de suicide et nombreuses cures de désintoxication qui ont émaillé les vingt-cinq dernières années de l'existence de Steven. The Sex, The Drugs, The Violence, The Shocking Truth… ça vous rappelle quelque chose ? Voilà qui tendrait à prouver à ceux qui en doutaient encore que la sacro-sainte trilogie “sex, drugs & rock’n’roll”, c’est peut-être très glamour (pour certains) sur le papier, mais qu'en réalité, c’est juste moche à pleurer.

Steven, qui n’avait plus joué avec Axl, Slash et Duff depuis 1990, les a rejoints sur scène à trois reprises au cours de leur “Not In This Lifetime Tour” US.
 

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
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