13 décembre 2017, 20:39

Stéphane Buriez (LOUDBLAST)

• Les albums qui ont changé sa vie


Le 15 décembre verra la sortie de « III Decades Live Ceremony », coffret LOUDBLAST concocté avec amour par Stéphane Buriez. Qui, au cours des prochains mois : enregistrera le deuxième album de SINSAENUM, le groupe death metal de Fred Leclercq (DRAGON FORCE) et Joey Jordison, ex-batteur de SLIPKNOT ; maquettera les titres du prochain LOUDBLAST qui devrait sortir fin 2018 ; donnera divers concerts – y compris avec un projet qui va faire du bruit ; repartira sur les routes… L’occasion rêvée de lui demander la liste des albums – censément au nombre de 10 – qui ont fait de lui le musicien qu’il est aujourd’hui. Mais Raphaël Mercier de MASS HYSTERIA ayant montré que le format était bien trop restrictif et frustrant quand on est tombé dans le chaudron du metal étant gamin (et ce même si Franky Costanza avait réussi l'épreuve) on a fait semblant de ne pas savoir compter…
 

KISS : « Alive! » (1975)

« LE groupe qui m’a donné envie de faire de la musique. Je devais avoir 11-12 ans quand je suis tombé sur une émission qui passait tous les samedis soirs sur TF1, “Les Légendes du rock’n’roll américain”, et ce samedi-là, il y a eu KISS. Ça m’a complètement retourné. Je me demandais ce que c’était que ces mecs maquillés, ces flammes, ce mec qui crachait du sang… Il fallait absolument que je trouve un de leurs disques. Ma grand-mère, qui a beaucoup œuvré pour ma culture musicale, donnait un coup de main dans une boutique qui se trouvait dans une petite galerie commerciale. Et juste en face, il y avait un disquaire.
J’ai fouillé dans le bac KISS et je suis tombé sur « Alive! » que ma grand-mère m’a offert. Ça devait être en 1978 et ce que je ne savais pas, c’est que le morceau qui m’avait fait flasher, “Love Gun”, se trouvait sur « Alive 2 ». Je l’ai découvert par la suite en m’intéressant à la discographie du groupe. A l’époque, il n’y avait pas Internet, c’était les copains des copains de copains qui te renseignaient… KISS est le groupe qui m’a donné envie de jouer de la musique et qui m’a accompagné toute ma vie. Il n’y a pas un album que je n’aime pas, à part peut-être la période démaquillée après « Lick It Up ». C’est pour ça que j’ai un magnifique tatouage “Rock and Roll Over” sur le mollet (sourire). Avec LOUDBLAST, on a longtemps repris “Deuce”. »
 

BLACKFOOT : « Highway Song - Live » (1982)

« En 1982, j’ai découvert « Highway Song – Live » de BLACKFOOT. Un de leurs concerts avait été capté par “Chorus”, une émission télé de l’époque, qui a aussi diffusé du live de TRUST, ROSE TATTOO… Ça passait le dimanche matin si je me rappelle bien et je n’étais pas allé à la messe ce jour-là (rires). Je déconne, je n’allais à la messe que pour mes communions mais j’y reviendrai… Je suis donc tombé sur Rick Medlocke qui avait une Explorer Gibson et je me suis dit : « Je veux une guitare comme celle-là ! »
Après KISS, ça a été l’autre déclencheur de mon envie de devenir musicien. J’ai eu ma première guitare à 14 ans et évidemment, je n’avais pas les moyens de me payer une Explorer à l’époque.
Quoi qu’il en soit, je me suis dit : « Je veux une guitare électrique et je vais profiter de ma première communion pour me la faire offrir! » Je n’étais pas très branché religion mais dans ma famille, il y avait soit les anticléricaux, soit les culs-bénis. Ma seconde communion m’a permis d’avoir un ampli. Ça a donc servi au moins à quelque chose (rires). »
 

THIN LIZZY : « Live And Dangerous » (1978)

« Encore un live. Le duo Brian Robertson-Scott Gorham m’a fait tilter directement.
Ils avaient la classe avec leurs Les Paul et puis il y avait aussi les chansons.
Ça n’était pas très heavy metal, c’était du hard rock bluesy un peu énervé.

Mon premier prof de guitare était fan de THIN LIZZY et c’est lui qui m’a passé « Live And Dangerous ».
Ça fait partie de ces albums que je connais sur le bout des doigts, jusqu’au simple souffle du public qui crie.

Ça a été un groupe marquant pour moi, qui n’a pas eu peur de prendre des risques en utilisant par exemple du saxophone.
Musicalement, il proposait quelque chose de différent. »
 

JUDAS PRIEST : « Unleashed In The East » (1979)

« Il y en a ceux pour qui LE groupe de heavy metal c’est MAIDEN, pour moi, c’est JUDAS. Mais je suis aussi très fan de MAIDEN, hein ! Je les ai découverts avec « Unleashed In The East », encore un live enregistré au Japon – d’après moi, c’est là qu’ont été faits les meilleurs live – et il y a le duo Tipton-Downing, une paire de guitaristes exceptionnels qui a même influencé SLAYER. Là aussi, la pochette est géniale.

On m’a dit que c’était un faux live, comme pas mal de disques de l’époque d’ailleurs où certains morceaux ont été carrément refaits en studio. Mais on s’en fout, l’essentiel, c’est le plaisir qu’on a pris en l’écoutant à l’époque.
Après, j’ai découvert « British Steel » (80), « Point Of Entry » (81)… Quand j’ai vu qu’ils sont programmés au Hellfest… je sais où je serai pendant le concert. Je ne fais pas une soirée avec mes potes sans qu’on se mette un live de JUDAS PRIEST. Et je suis allé voter tous les jours pour eux sur le Rock and Roll Hall Of Fame, même si c’était BON JOVI qui était devant. »
 

SAXON : « Strong Arms Of The Law » (1980)

« A l’époque, le mercredi après-midi, il y avait “Studio 3”, une émission de François Diwo, qui a passé le clip de “Strong Arms Of The Law”. On était à la maison de campagne familiale à côté d’Amiens, comme toujours pendant les vacances, j’ai pris mon vélo en cachette de ma grand-mère et je suis allé jusqu’au centre commercial le plus proche pour acheter l’album de SAXON. J’ai toujours le vinyl de l’époque. Avec Nicolas (Leclercq), le premier guitariste de LOUDBLAST avec qui on a fondé le groupe, on s’est retrouvé autour de ces groupes-là.
Nicolas et moi, on a grandi ensemble musicalement. On avait le même niveau, c’est-à-dire nul (rires), et on a appris à jouer en déchiffrant des morceaux de SAXON, JUDAS, DEF LEPPARD… On se retrouvait tous les mercredis après-midis et tous les week-ends dans nos chambres respectives pour essayer de décrypter tous ces groupes et tenter de comprendre comment travaillaient les deux guitares. A l’époque, il n’y avait pas Internet, les partitions étaient dures à trouver et en plus, certaines étaient très approximatives. J’ai retrouvé il y a quelque temps des tablatures de l’époque que j’avais relevées à la main.
SAXON, c’est le premier concert de heavy metal auquel j’ai assisté. C’était sur la tournée “Power & The Glory” (1983) et mon oncle m’avait accompagné parce que j’étais trop jeune pour y aller seul. »
 

AC/DC : « Highway To Hell » (1979)

« C’est l’album d’AC/DC que je retiendrai, même si je suis fan de tous les autres. Tous les disques avec Bon Scott sont des perles et celui-ci est le dernier qu’il a enregistré. On passait notre temps à déchiffrer ces morceaux et à mal les jouer parce qu’AC/DC, ça n’est pas évident.
On en reprend avec LE BAL DES ENRAGÉS, ce qui me fait bien plaisir car je n’en avais jamais joué sur scène.

Je suis hyper frustré de ne pas avoir vu AC/DC quand ils sont passés à la Foire Commerciale de Lille où jouaient tous les gros groupes à l’époque. Bon Scott est mort quelques mois après. Je pense que j’avais dû avoir des sales notes à l’école et que je n’avais pas eu le droit d’y aller. Un grand regret…
J’ai adoré les premiers albums avec Brian Johnson mais après, j’ai un peu lâché, même si je reste un grand fan du groupe. »
 

MERCYFUL FATE : « Melissa » (1983)

« Un groupe qui a jeté un pavé dans la mare quand il est arrivé. Une espèce de heavy metal occulte avec la voix hyper haut perchée de King Diamond dont je suis un fan éternel et encore une fois, une paire de guitaristes absolument fantastiques, Hank Shermann et Michael Denner. Ils étaient à cheval entre le heavy metal et le speed metal, ils avaient un univers evil à souhait. Ils n’ont sorti qu’un EP et deux albums dans un premier temps avant de revenir dix ans après.
« Melissa » fait partie des disques cultes, quand on passe une soirée avec Raphaël (Mercier de MASS HYSTERIA), on ne peut pas ne pas écouter un MERCYFUL FATE.
C’est le genre d’album que tu connais par cœur mais que tu prends toujours du plaisir à écouter car tu peux encore découvrir des choses tellement il y a des couches dans tous les sens avec les voix du King. C’est intrigant, hyper malsain et très inquiétant. Je suis bien frustré de ne pas avoir vu MERCYFUL FATE quand ils sont passés la même année que METALLICA au Heavy Sound Festival à Poperinge en Belgique (NDJ : en 1984). Comme LOUDBLAST était originaire de Lille et qu’on était frontalier, on allait voir tous les concerts en Belgique où passaient des groupes qui ne jouaient pas encore en France. Et puis naturellement, j’aime aussi tous les albums que King Diamond a fait ensuite sous son nom. »
 

METALLICA : « Kill ‘Em All » (1983)

« Cet album a été un véritable bouleversement pour moi. Je l’ai découvert sur Radio Weppes que j’écoutais tous les vendredis sous ma couette parce que ça passait tard et que j’étais censé dormir à cette heure-là. L’animateur de l’émission, qui est devenu par la suite le premier chanteur du groupe avant qu’il ne s’appelle LOUDBLAST, a passé « Kill ‘Em All » qui venait de sortir aux Etats-Unis. Les imports US arrivaient en Belgique bien avant la France, pratique pour nous qui étions frontaliers. Il coûtait 120 francs (NDJ : environ 18 euros), alors on s’est mis à plusieurs pour l’acheter parce que c’était un sacré budget pour de jeunes lycéens.
Il a passé “Hit The Lights”, “The Four Horsemen”… Je n’avais jamais entendu ça de ma vie. C’était à la fois ce que j’aimais dans le heavy metal mais plus speed que MOTÖRHEAD qui, à l’époque, était ce qui se faisait de plus violent côté vitesse et voix. Et là, d’un coup, METALLICA a balayé tout ça… Je n’avais jamais entendu une voix comme celle d’Hetfield même s’il y a eu beaucoup plus extrême depuis. Ça a été le point de départ de ce qui est devenu mon métier. On voulait tous ressembler à Hetfield à l’époque, avec ses Nike, ses futes moulants, son T-shirt Fuck Off, sa cartouchière et toujours la Flying – c’est obsessionnel chez moi (sourire). Il y a eu un avant et un après « Kill ‘Em All » – du moins pour moi.
Quand on a écouté l’album, Nicolas et moi, on a décidé de quitter le groupe de heavy metal dans lequel on stagnait depuis quelques mois, avec une seule compo et des reprises pourries, pour faire du speed metal. A l’époque, on ne parlait pas encore de thrash. C’est là que l’on s’est mis à chercher des mecs qui avaient les mêmes goûts que nous et que l’on a formé LOUDBLAST en 1985. « Kill ‘Em All » est un album charnière dans mon apprentissage de la musique. Ça n’est pas pour rien que METALLICA est devenu un des plus grands groupes du monde. »
 

SLAYER : « Hell Awaits » (1985)

« J’ai adoré « Show No Mercy » qui était plus crade que VENOM. Je ne comprenais rien, ça allait trop vite. On est tous devenus fans de SLAYER et j’ai vu leur tout premier concert en Europe au Heavy Sound Festival sur la tournée “Hell Awaits”, en 85. Pour moi, c’est l’un des albums les plus sombres de leur carrière, il y a des morceaux épiques comme “At Dawn They Sleep”, cette pochette super dégueulasse et l’ambiance est extrêmement malsaine du premier au dernier titre. En guise d’intro des tout premiers concerts de LOUDBLAST, c’est nous qui jouions l’intro de “Hell Awaits”. On retrouve d’ailleurs l’audio de notre tout premier concert à Sainghin-en-Weppes dans le coffret « III Decades Live Ceremony ».
A l’époque, avec mes copains lycéens métalleux, on séchait le bahut le samedi matin chacun à notre tour pour aller chercher les disques qui sortaient en Belgique. C’est moi qui avais fait l’aller-retour pour ramener « Hell Awaits » que l’on attendait avec tant d’impatience, pour pouvoir l’écouter religieusement ensemble l’après-midi même. Je me sens plus proche de l’univers malsain et bizarre de SLAYER que de celui plus “gentillet” de METALLICA. L’industrie de la musique ne marchait absolument pas comme maintenant, on n’avait pas un flux d’informations constant et à chaque fois, se procurer un album et l’écouter, c’était vraiment important. Aujourd’hui, on consomme la musique. J’écoute toujours des vinyls parce qu’en plus, il y a une belle pochette que l’on peut étudier… Je suis peut-être un vieux con mais si c’est ça être un vieux con, je veux bien le rester (sourire) !
« Hell Awaits », c’est mon album de chevet de SLAYER. Il y a les harmonies de guitare super tordues, les solos dissonants d’Hannemann et King, son bracelet à clous… Tout se réunit : ils étaient fans de JUDAS PRIEST, il y a deux guitaristes, des échanges de solo, ils étaient très fans de MERCYFUL FATE aussi. Il y a un vrai sens à tout ça. LOUDBLAST a d’ailleurs enregistré une reprise de “Mandatory Suicide” (sur « Cross The Threshold », sorti en 1993). »
 

MORBID ANGEL : « Altars Of Madness » (1989)

« Il est sorti la même année que « Sensorial Treatment », notre tout premier album. Je connaissais déjà MORBID ANGEL parce que je faisais beaucoup de tape trading – c’est en échangeant des démos que j’ai rencontré les gens de SEPULTURA qui venaient de sortir leur premier split EP – et je trouvais « Thy Kingdom Come » (87) complètement dingue. Aucun autre groupe ne faisait ça à l’époque. Trey Azagthoth était complètement fou, il y avait des structures alambiquées, des blasts de batterie qu’on retrouvait chez peu de groupes. MORBID a apporté autre chose, c’était le death metal à son apogée.
C’est difficile de choisir entre cet album et le suivant, « Blessed Are The Sick ». C’était aussi les débuts du Morrisound Studios à Tampa où l’on a enregistré par la suite (NDJ : « Disincarnate » puis « Sublime Dementia », sortis respectivement 91 en 93). Et puis il y avait l’image hyper sataniste, le côté poseurs et c’est l’un des meilleurs albums de death metal de tous les temps.
Un de mes groupes de death préféré aussi. Chez SINSAENUM (NDJ : le projet death de l’ex-SLIPKNOT Joey Jordison et de Fred Leclerc de DRAGON FORCE dont fait partie Stéphane), on est tous archi-fans de MORBID ANGEL. »
 

Et aussi, dans le désordre…
 


Ted Nugent : « Weekend Warriors » (1978)
« Je l’écoute toujours. J’ai eu la chance que le grand frère de mon meilleur ami ait plein d’albums, Ted Nugent, AC/DC, PINK FLOYD… On mélangeait un peu tout ça en se faisant des cassettes, des best of. Tu retrouves ces albums en évoluant dans le temps, ils font partie de ton ADN. Même si Ted Nugent est devenu too much, ça reste un guitariste que je respecte au plus haut point. C’est aussi l’époque où il y avait des pochettes historiques, fascinantes quand on est gamin, comme celle-ci avec le manche de guitare transformé en fusil qui tire. »

SCORPIONS : « Tokyo Tapes » (1978)
« Un des grands live de cette période-là. Je me revois dessiner Rudolf Schenker sur mon cahier de textes au lycée. Je voulais un T-shirt avec des zébrures, comme lui. Et puis il y avait la Flying V dont je suis un grand fan. Sur la vingtaine de guitares que je possède, j’en ai 60 % de forme Flying : Gibson, Dean et ESP avec qui je travaille maintenant. Après, j’ai enchaîné sur « Animal Magnetism », « Lovedrive », « Blackout »… SCORPIONS, c’est un groupe incontournable et ce sont les premiers Allemands à avoir connu le succès à l’échelle internationale. »

TRUST : « Trust » (1979)
« Dans les tablatures relevées à la main que j’ai retrouvées, il y avait “L’Elite” de TRUST. Nono est vraiment un super guitariste et en termes de guitares, ce premier album était vraiment complet, il y avait un super son. »

TYGERS OF PAN TANG : « Crazy Nights » (1981)
« Je suis un enfant de la New Wave Of British Heavy Metal. J’ai grandi à l’époque où tous ces groupes émergeaient et TYGERS a eu un succès d’estime mais a foiré en voulant faire quelque chose de beaucoup plus FM avec « The Cage » qui n’a pas du tout marché. Là encore, j’avais flashé sur les gratteux. Il y avait John Sykes (futur WHITESNAKE), qui était déjà une bête, et Robb Weir avec ses petits solos très simples sur des gammes pentatoniques. Des morceaux simples à déchiffrer pour nous, jeunes guitaristes de 14 ans, qui nous ont permis de commencer à chercher des musiciens pour reprendre ces titres plutôt que de rester tous les deux à la guitare. »

MOTÖRHEAD : « Overkill » (1979)
« Avec mon tout premier groupe qui n’avait pas de nom, on jouait très mal mais on se donnait la peine. On reprenait “Children Of The Damned” de MAIDEN, du MOTÖRHEAD… Mes deux albums préférés, ce sont « Overkill » et « Iron Fist ». « Overkill » a cette espèce d’énergie punk rock’n’roll bien dégueulasse, ça ne joue pas en place mais c’est justement ça qui donne de l’énergie. »

MSG : « Assault Attack » (1982)
« Michael Schenker est sans doute mon guitariste préféré. Il est fluide – ce qui a été moins le cas pendant un moment quand il buvait mais maintenant, il ne boit plus. Pour moi, c’est un guitariste emblématique : il a un jeu intelligent, il n’en met pas partout, c’est beau, musical, mélodique. Un album incroyable avec un line-up de fous. »

Sans oublier…

KREATOR : « Endless Pain » et « Pleasure To Kill », DESTRUCTION :  « Sentence Of Death » et « Eternal Devastation », AEROSMITH : « Rocks », DEATH : « Scream Bloody Gore » et « Spiritual Healing », QUEEN : « News Of The World », OBITUARY : « Cause Of Death », BATHORY : « Bathory », CELTIC FROST : « Morbid Tales », « Emperor’s Return », « To Mega Therion » et « Into The Pandemonium », AUTOPSY : « Severed Survival », PARADISE LOST : « Icon », THE EXPLOITED : « Troops Of Tomorrow », KILLERS : « Fils de la haine », H-BOMB : « Attack », VULCAIN :  « Rock’n’roll Secours », VOIVOD : « Killing Technology » et « Angel Rat », CARCASS : « Reek Of Putrefaction » et « Heartwork », SODOM : « In The Sign Of Evil » et « Sodomy And Lust »,  POSSESSED : « Seven Churches », SUPERTRAMP : « Breakfast In America », François de Roubaix : toute sa discographie, SATAN : « Court In The Act ».

Blogger : Laurence Faure
Au sujet de l'auteur
Laurence Faure
Le hard rock, Laurence est tombée dedans il y a déjà pas mal d'années. Mais partant du principe que «Si c'est trop fort, c'est que t'es trop vieux» et qu'elle écoute toujours la musique sur 11, elle pense être la preuve vivante que le metal à haute dose est une véritable fontaine de jouvence. Ou alors elle est sourde, mais laissez-la rêver… Après avoir “religieusement” lu la presse française de la grande époque, Laurence rejoint Hard Rock Magazine en tant que journaliste et secrétaire de rédaction, avant d'en devenir brièvement rédac' chef. Débarquée et résolue à changer de milieu, LF œuvre désormais dans la presse spécialisée (sports mécaniques), mais comme il n'y a vraiment que le metal qui fait battre son petit cœur, quand HARD FORCE lui a proposé de rejoindre le team fin 2013, elle est arrivée “fast as a shark”.
Ses autres publications
Cookies et autres traceurs

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies ou autres traceurs pour mémoriser vos recherches ou pour réaliser des statistiques de visites.
En savoir plus sur les cookies : mentions légales

OK