Basé à Berkeley, en Californie, THE GHOST NEXT DOOR est né du désir de marier la mélancolie sombre de la musique alternative des années 80 et 90 avec l'agressivité et la force du metal de la Bay Area. Chaque membre apporte ses influences uniques à travers le spectre de la musique moderne : du punk au jazz, du metal progressif au sadcore, du rock moderne au thrash. Leurs influences et leurs styles de jeu se combinent pour donner naissance à un rock'n'roll à base de riffs qui s'épanouit sous la peau nue de textes d'une honnêteté abrasive. Sur scène, ils se réunissent pour montrer ce qui résulte d'une compulsion indéniable à créer et à jouer leur vision expressive du metal moderne.
Et ces piliers californiens du heavy metal progressif sont prêts pour leur retour avec un troisième album studio, « Classic Songs Of Death And Dismemberment » le 21 juin chez Ripple Music, faisant donc suite de "A Feast For The Sixth Sense" paru en 2019.
Le trio dirigé par le guitariste et chanteur Gary Wendt, également connu pour avoir fondé les légendes du crossover des années 80 SACRILEGE BC et la formation de metal alternatif RELEASE, s'impose comme une force puissante au sein de la scène metal underground de la Bay Area.
Alimenté par un feu sonore inextinguible et son exploration politique du groove et des riffs dans leur forme la plus alambiquée, le nouveau line-up complété par Aaron Asghari à la seconde guitare et Noah Whitfield à la basse, avec toutes les pistes de basse de l'album jouées et enregistrées par la bassiste intérimaire Naiya Cominos, livre un 13 titres sombre, entêtant et encore plus progressif avec des touches de metal alternatif et de doom sur ce « Classic Songs Of Death And Dismemberment ».
Track-listing :
01. Asleep At The Wheel
02. It Takes a Village
03. Diatribe
04. DK
05. Nothing Then Nothing Again
06. The Hit That Hits Back
07. Atlas
08. Static
09. First Person Shooter
10. I Am The Monster
11. Epitaph
12. The Dividing Line
13. Wax and Wane
« Je pense que cet album est un peu plus progressif et varié. Un peu aventureux, mais plus cohérent. Au niveau des paroles, j'explore toujours les thèmes de la mort, de la destruction et de la méchanceté humaine. La politique de la terre brûlée de l'homme... » déclare Gary Wendt.
L'album a été enregistré, produit et mixé par Gary Wendt et Steve "Snake" Green aux Green Dot Studios, et masterisé par Tony Lindgren aux Fascination Street Studios. Quant à la pochette, elle a été réalisée par Aldo Katayanagi.
Découvrez un premier single ci-dessous avec "It Takes A Village"
